Au matin à keur mécène, petite initiation à la frontière culturel qui m'attend: principe de base "time is money". Mon passeport tarde à m’être rendu, mon attente patiente pendant une heure assis devant la porte des bureau est un message complice bien reçu "j'ai tout mon temps et peu d'argent". Au péage du parc naturel de Diama rebelote les 5000 sont réajusté à 2000, et finalement bonne rigolade avec les gardiens quand j'éternue sous l'emprise de leur poudre à prisé qu'il m'ont invité à partager.
Sur la piste en terre battu c'est du pilotage tout en douceur
maman phaco et les petits |
pilotage sur la piste
après 20 jours de desert retour des arbustes |
Je n'étais pas censé passer la frontière de Diama car il n'y a pas d'ordinateur pour la délivrance du visa , un automobiliste serais refoulé à coup sur mais je parie sur mon joker cycliste pour amadouer les douaniers.
Premier contact, une lourde barrière prix annoncé pour sa lever 5000 cfa. Après un sitting ferme "jai pédaler 20 jours pour venir au sénégal une barrière n'est pas si lourde après tant d'effort". Le garde barrière veux me faire promettre de rembourser le passeur qui veux m'accompagner coût que coût.
Maintenant la police me demande de prendre un taxi 10000 cfa pour aller faire mon visa à l'aéroport, je sens qu'il est temps de jouer la montre. Au resto à coté, un groupe des "médecins du fleuve" me questionnent longuement on parle de la situation au mali.. Après une heure je retrouve les policiers, a court d'idée je propose d'aller voir les gendarmes en attendant. Bonne pioche il m'est finalement accordé de partir et avec les encouragements des gendarmes. A l’Aéroport un policier reviens gentillement après son service rallume les machines pour me délivrer mon visa.
Arrivée a st louis l'accueil spontanée des enfants.
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